lundi 9 septembre 2013

Imaginez...



Je ne saurais montrer aux internautes les plus belles choses que j'ai vu dans ma vie.Elles se passent d'image et aucune photographie ne pourrait leur rendre justice. 

Je ne peux qu'essayer de les décrire, avec mes mots, et espérer qu'ils ferment les yeux en imaginant ce dont je veux parler. Seule l'imagination peut égaler la beauté d'une montagne illuminée par la pleine lune, l'envol d'un oiseau jadis prisonnier d'une boîte en carton,  ou la musique d'une rivière qui dévale les rochers à pic d'une falaise…

 Le 09 septembre 2013
A la revoyure les loups !

vendredi 16 août 2013

La linguistique

On pourrait passer sa vie à apprendre parfaitement la grammaire, l'orthographe et la conjugaison d'un langage, on ne le connaîtra jamais assez bien si l'on n'en connaît pas les insultes.

Le 16 août 2013
A la revoyure les loups !

lundi 12 août 2013

Réflexion sur l'écriture.

C'est à gratter le papier qu'on se débarrasse des démangeaisons qui nous collent à la peau. C'est à noircir une page ou plusieurs qu'on remplit le blanc, ce silence effrayant, celui qui doit s'arrêter.

Quelques tâches d'encres font office de décorations quand l'esprit s'envole et la plume avec, quand elle crache comme on crache sa rage sur un carnet vierge. Des ratures barrent les mots, et les gouttes d'encre sont comme les gouttes de sang d'une phrase mal foutue, blessée, comme par les agressions mortelles apposées sur une erreur par trop vivante.

Un manuscrit propre est un second essai par trop parfait. Le brouillon est vivant, comme on voit les allers-retours de la pensée, comme on voit les hésitations et les doutes qui torturent l'esprit et l'aiguisent afin qu'il soit tranchant et qu'il marque pour de bon ceux qui le lisent.
 
Allez, j'écris comme on compose une symphonie, avec ses fausses notes, ses défauts et ses imperfections qui font là toute sa beauté. Je cherche mes mots comme on cherche l'harmonie, à s'en arracher les cheveux, et chaque phrase est à mes yeux comme une mesure, petite part d'un tout mais essentielle tout de même.
 
Allez, j'écris comme je me libère ! Sur le papier rien n'est interdit, et les lignes qu'on aligne sont comme les revendications qu'on n'osera jamais clamer… Écrire, c'est comme crier tout en gardant le silence. Mieux qu'une vidéo, mieux qu'un passage à la radio, c'est une trace qui perdurera tant qu'une seule personne gardera ce livre dans sa bibliothèque.

Le 12 Août 2013
A la revoyure les loups !

mardi 30 juillet 2013

Féminité, tu nous tiens par...

J'adule la beauté occasionnelle, unique, celle qui se fait remarquer au milieu de douzaines de milliers de mannequins; celle qui fait la différence au travers d'un œil qui dit merde à l'autre, comme un doigt levé vers les canons auxquels elle tient lieu de cible.

Les canons, parlons-en, font au travers du monde des millions de victimes, qui n'ont pu échapper à leurs détonations. Comme une arme de guerre, ils font de leurs victimes des squelettes animés recouverts de peau, inexpressifs. C'est un combat qu'ils mènent contre la chair, la vraie vie, celle sur laquelle on peut s'endormir avec tranquillité.

Cette "chair à canons" est perdue à jamais, ainsi que son bonheur de vivre.

C'est pourquoi je vote à bras levé, pour le retour des formes et des seins, avec grande forme et à dessein !
 
 30 juillet 213
A la revoyure les loups !

dimanche 28 juillet 2013

Avec un grand sourire !


Je me réserve le droit d'écrire des textes déprimants si la joie de vivre emplit mon esprit.

Je me réserve le droit d'écouter des chansons tristes si dans ma tête persistent des airs entraînants. J'aime la mélancolie, je le peux si je me repait d'humour. Ce que l'on aime n'est pas toujours ce que l'on est. 
Il est possible parfois, souvent, que ce que l'on adore qoit le lien qui nous maintienne les pieds sur terre et nous braque les yeux vers les étoiles, comme un espoir infini alors que nous restons plantés là dans le présent bientôt fini.

L'espoir et un sourire, voilà ce qui me permet de vivre ! Voilà la connivence qui nous permet de vivre ensemble, quels que soient nos bords et nos différences. Le sourire est universel, jamais nous ne devrions le cacher.

Un bon mot, une situation cocasse, voici ce que crée la complicité.

Jamais nous ne devrions les cacher du soleil, nous devrions en fait les afficher au grand jour car c'est bien là la nature humaine, qui nous pousse à tisser des liens auxquels nous n'aurions jamais pensé.

En tout cas, j'ose le croire dans cet accès d'optimisme, et je crie une fois de plus à l'espoir et à l'humanisme !

28 juillet 2013
A la revoyure les loups !

mercredi 26 juin 2013

Les représentants de "L'Autorité" : une erreur?


Celui-là qui porte un uniforme est directement classé dans un dossier. Qu'importe ce qu'il pense au fond de lui, qu'importe ses croyances, qu'importent ses avis. D'un point de vue extérieur, il restera catalogué, défini d'après son habit. Cela peut le conforter, il appartient à ce groupe qu'il aura choisi, et cela peut l'effrayer. Il pourra ne plus jamais recouvrer son libre arbitre, il pourrait ne plus jamais retrouver ce qu'il a de plus précieux: ce qu'il pense vraiment, ce qu'il est, au fond.
 

Le prestige de l'uniforme? Cela reste une cage dorée, comme une illusion de liberté, à l'échelle de l'individu. Le prestige de l'uniforme reste un fantasme, de celui qui le vît chaque jour, et pour celui qui l’entrevoit, entre deux rangées d'un conclave, un casque aperçu comme une menace alors que l'on se sent transporté par nos revendications. On oublie que sous le casque, un cerveau comme le nôtre bat. On oublie les larmes qui coulent, invisibles, sous la visière.
 

Qui sont les véritables adversaires? Qui devrait porter les stigmates de l'affrontement?
Les fantassins n'ont rien à voir avec la stratégie, ce sont les généraux, bien à l'abri dans leurs tentes, qui tirent les ficelles.


Nous pourrions nous allier, chair à canon et contestataires, c'est ainsi que la population montrerait sa véritable force, celle de l'invisible, celle qui existe et perdure: l'humanité en fait, et la solidarité qui crée sa force.


Nous ne devrions pas jeter la pierre à ceux qui se doivent d'obéir sous menace d'une peine, oh, quelle peine? Nous devrions tous, civils, CRS, Policiers, nous unir pour dénoncer ce manque d'unamité qui fait souvent défaut à ceux qui nous dirigent.

Après tout, on l'a dit, redit, et dit encore, l'union fait la force. Reste à choisir avec qui nous concrétiserons cette union qui nous fait bien défaut...

C'est avec un immense regret, malgré moi, que je rédige ce constat. Ne m'en tenez pas rigueur !


26 juin 2013
A la revoyure les loups !

dimanche 16 juin 2013

La politique et sa grande faiblesse.



 Nous ne saurons avec certitude quelle est la véritable majorité que lorsque les parents éduquerons leurs enfants afin qu'ils développent leur propre chemin de pensée, plutôt qu'en leur indiquant pour quel parti voter. Nous ne devrions pas oublier que nos enfants ont leurs propres histoires, leurs propres références; nous ne devrions pas leur imposer les nôtres.

C'est dans cette idée, je pense, que réside la véritable démocratie, vierge de toute influence, et pleine d'intégrité laissant à ces petits devenus grands la liberté de s'exprimer pleinement.


 16 juin 2013
A la revoyure les loups !